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Arrachage de jussie en Loire-Atlantique

Arrachage de jussie en Loire-Atlantique

Certaines plantes comme la jussie doit être arrachée et non faucardée en raison de leur système racinaire. 

C'est également le cas des roseaux.


L'arrachage mécanique permet de traiter de grande surface avec un état de développement
important de la jussie, notre machine amphibie est équipée d’un râteau d’arrachage qui permet d’accéder aux racines.

Cette technique est efficace surtout pendant la période végétative de la plante, en fin de saison la plante cassant plus facilement.


Le faucardage de la jussie est à proscrire la plante se reproduisant par bouturage, l'action risque d'être pire que de ne rien faire.

Notre machine amphibie permet de descendre à une profondeur allant jusqu’à 2 mètres et nos outils peuvent travailler jusqu’à 4 mètres de largeur.

Les étapes de l'arrachage

01.

Identification des espèces

Avant toute intervention, une reconnaissance des plantes invasives est réalisée. Certaines espèces nécessitent un arrachage complet, racines comprises. Cette étape permet de choisir la méthode la plus efficace. Elle évite aussi d'endommager les plantes locales. Un plan d’action est établi en fonction des zones à traiter.

02.

Arrachage manuel ciblé

L’arrachage manuel est utilisé dans les zones sensibles ou difficiles d’accès. Il consiste à retirer les plantes à la main ou à l’aide d’outils simples. Cette méthode est précise et limite la fragmentation. Elle est souvent pratiquée depuis les berges ou en barque. Elle convient bien aux petites surfaces ou aux milieux fragiles.​

03.

Arrachage mécanique

Pour les zones étendues, des engins flottants sont utilisés. Ces machines arrachent les plantes avec leurs racines tout en limitant la dispersion. Elles permettent un travail rapide et en profondeur. Leur usage est encadré pour protéger la faune et les berges. L'intervention est souvent couplée à un ramassage immédiat.

04.

Gestion des résidus végétaux

Après l’arrachage, les plantes extraites sont collectées et évacuées. Elles peuvent être compostées, incinérées ou valorisées selon leur état. Il est essentiel de ne pas laisser de fragments dans l’eau. Cette étape évite la repousse et la dissémination. Un suivi est ensuite mis en place pour prévenir une nouvelle invasion.

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